L’augmentation drastique des prix de l’énergie est devenue un problème pour de nombreux ménages. La seule solution serait-elle de réduire la température des pièces et de multiplier les couches de vêtements ? Pas nécessairement.

La plupart des bâtiments subissent des pertes de chaleur dues à nos mauvaises habitudes et à des solutions de conception inappropriées. En localisant les endroits où les pertes sont les plus importantes, il est possible de les réduire de manière significative et donc de réaliser des économies sans le spectre des radiateurs éteints.

Calculs des pertes de chaleur des bâtiments

La perte moyenne de chaleur dans une maison peut être calculée par vous-même, bien que le processus soit assez long et nécessite l’utilisation de formules mathématiques appropriées, les dispositions de la norme de construction polonaise, ainsi que la connaissance des matériaux à partir desquels la maison est construite et la surface totale de toutes les cloisons thermiques, c’est-à-dire les sols, les plafonds et les plafonds, les murs extérieurs, les fenêtres et les portes.

Tout d’abord, il faut savoir que la majeure partie de la chaleur s’échappe d’une maison par l’intérieur :

  • le toit et les plafonds (jusqu’à 25-30% de la perte totale d’énergie)
  • les murs et les coins (environ 20-25%).
  • les fenêtres et les portes, nous perdons 10 à 20 % de chaleur,
  • le sol, les fondations et les caves – environ 10 à 15 % de la chaleur.

Les cheminées et les conduits de ventilation, ainsi que les balcons et les fondations, sont responsables du reste des pertes (environ 15 %). Bien entendu, il s’agit là de valeurs moyennes ; dans certains cas, les pertes de chaleur dans un bâtiment peuvent être réparties de manière tout à fait différente, ce que vous pouvez déterminer en commandant une étude par imagerie thermique de la maison.

Les normes de transfert de chaleur sont définies par le coefficient de transfert de chaleur [U] – c’est-à-dire la quantité d’énergie (en watts) qui pénètre 1m2 d’une barrière thermique [K] (par exemple, les murs, les fenêtres). Selon l’arrêté du ministre de l’Infrastructure relatif aux conditions techniques auxquelles doivent satisfaire les bâtiments et leur emplacement, en vigueur depuis 2021, pour les murs extérieurs, le coefficient de transfert de chaleur ne peut être supérieur à 0,2 [W/m2K].

Découvrez ce qu’est un audit énergétique de bâtiment.

Principales causes de déperdition de chaleur dans les logements et les maisons individuelles

Nous ne disposons pas encore de la technologie nécessaire pour construire des maisons totalement étanches à l’air, bien que de nombreux progrès aient été réalisés dans le domaine de la construction passive. Cependant, il est possible de réduire dans une certaine mesure les pertes de chaleur en en connaissant les causes.

Les problèmes les plus courants sont les pertes de chaleur par les fenêtres et les portes – ces éléments se caractérisent par une conductivité thermique plus élevée, qui est exacerbée par une étanchéité inadéquate ou une fermeture imprécise. Naturellement, il y a aussi des pertes de chaleur à travers l’enveloppe thermique, en particulier à l’endroit où le plafond rejoint les murs ou à l’endroit où les blocs de polystyrène se rejoignent. Ces zones sensibles sont appelées ponts thermiques. La chaleur s’échappe par les ponts thermiques, d’où la nécessité d’augmenter le chauffage.

Découvrez pourquoi il est judicieux de déterminer les classes énergétiques d’un bâtiment.

Pertes de chaleur dans l’habitat – comment les réduire ?

Il est possible de réduire efficacement les pertes de chaleur dans un bâtiment. Le plus souvent, cela nécessite un investissement sous forme de rénovation ou d’isolation, mais le coût sera récupéré sur les factures de chauffage. En plus des bonnes habitudes (comme l’aération constante de la pièce au moyen de micro-étanchéités), il est essentiel de diagnostiquer les endroits où les déperditions de chaleur sont trop importantes.

La technologie moderne, et plus particulièrement l’imagerie thermique, vient à la rescousse. Il s’agit d’une méthode non invasive, relativement peu coûteuse par rapport aux avantages escomptés et très précise. Il est conseillé de l’effectuer lorsque la maison est encore en construction afin de vérifier l’exactitude de l’isolation. Si, par ailleurs, nous rencontrons des zones extrêmement froides dans la maison, si nous sentons des courants d’air dans des pièces fermées ou si nous remarquons des points d’humidité à l’intérieur, le test est tout simplement indispensable.

L’étude par imagerie thermique de TERMOCENT permet de localiser avec précision les zones de déperdition de chaleur excessive et les fuites dans les installations d’eau. Une étude par imagerie thermique consiste à scanner le bâtiment de l’extérieur et de l’intérieur à l’aide d’une caméra équipée des capteurs appropriés.

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Appelez le +48 530 105 398 ou envoyez un courriel : kontakt@termocent.com

Résultats sont analysés par des spécialistesen tenant compte d’un certain nombre de variables telles que les matériaux de construction utilisés, l’épaisseur de l’enveloppe, les conditions météorologiques et la température extérieure au moment de l’enquête. Leur rapport permet d’identifier les points clés nécessitant une étanchéité supplémentaire et d’estimer l’ampleur et le coût de la thermo-modernisation nécessaire.

 

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